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BUD

19 octobre 2010

Ce matin, il pleuvait pour tout le monde.

Ce matin, il pleuvait pour tout le monde. Bruxelles en pluie, ce n'est pas original.

J'attendais le bus, il était 9h.

Je ne sais pas, un coup de bambou, un ramassé de vieilles histoires. Et je repense à ce vieux texte écrit il y a 10 ans ou presque.

Un texte de chanson lancé à la volée, au hasard,... lancé sur l'impulsion de l'instant.

Quelques mots qui restent? Comme pour dire que, parfois, des âges plus jeunes avaient dans les yeux plus de réalité que ce que les années nous font accumuler.... peut-être?

Je ne sais pas....

 

l'orage qui tombe

 

Surtout se dire qu'on va partir

ou bien s'en donner l'idée?

Quand on ne fait plus que suivre.

Qu'on a plus rien a souhaiter.

 Parce qu'on ne fait plus que courrir

tel des chiens, en baissant le nez,

qu'on ne pousse que des soupirs

en regardant passer les pavés.

Et l'on se dit que l'on va fuir

meme si rien ne peut changer,

qu'ici ou là c'est sans avenir

mais qu'on ne doit pas laisser tomber,

que si l'on ne sait plus écrire

on peut toujours en pleurer.

 

Partir parce que c'est l'orage qui tombe

l'aprés-midi sur cet arrêt de bus

que les idées qui nous plombent,

On ne les compte même plus

qu'on voudrait voir un jour passer les palombes

même si chaque avancée de plus

 amène toujours ses écatombes

comme le tonnerre et les crues.

 

Encore se dire qu'on va partir

ou bien s'en donner l'idée

Alors qu'on ne sait rien finir

que l'on recul pour mieux tomber.

C'est l'odeur de la pluie qu'on doit tenir

sur tout ce bitume seché

comme les croutes d'un avenir

qui cachent toutes les plaies.

On a beau regarder le ciel et se dire

qu'on ne doit pas tout retourner

que tout va s'éclaircir

et que les éclairs vont cesser

il y a des acalmies

et des mauvais moments a passer.

 

Partir parce que c'est l'orage qui tombe

l'aprés-midi sur cet arrêt de bus

que les idées qui nous plombent....

 

 

Bud (il y a quelques temps) 

 

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15 octobre 2010

frayeurs diverses...

Hier j'ai croisé Boris Leman, le réalisateur "intelo belge" invité perpétuel de tous les festivals de films chiants. Je l'ai vu hier dans le bus, avec sa tignasse blanche hirsute à la Einstein, avec des sac GBd ans la main droite, dans l'autre main une grosse valise. Et, j'ai peur de Boris Leman ! 

J'ai vu quelques films de Catherine Breillat et dans l'absolu, j'ai peur de Catherine Breillat. C'est, en soi, une impression intrinsèque et épidermique.

Dans Les Inrok, j'ai lu il y a trois publications de cela, toute la politique de castration mentale exercée par le groupe France Télécom sur ses employés et j'ai peur de la prise de pouvoir de ce genre de politique élitiste et libérale.

Il n'y a pas si longtemps, j'ai écouté le discours de Bart de Wever à l'université de Gand et j'ai peur de Bart de Wever.

Ce soir, j'ai revu un documentaire que j'avais enregistré sur Arte à propos du 3ème Reich et je pense qu'Hitler me fait toujours peur. 

J'ai acheté le dernier album de Philippe Katerine, je l'écoute en ce moment et j'aime Philippe Katerine. ça change.  

 

 

13 octobre 2010

Trop tard

Waouw, je reviens sur ce blog... je viens de le revisiter. Un article tout les deux ans... j'ai été productif ces dernier temps! 

Je crois que je vais revenir écrire un peu sur cette plate-forme informelle... 

Peut-être parce qu'à force d'entretenir un blog pour le boulot, je finis par revenir au mien.. Je ne sais pas, il est tard ce soir et c'est bien. Je fredonne. Dans la tête un vieux Bowie résonne : "It's to late to be gratfull".

A plus tard, hehe... 

12 septembre 2008

back again.. arf...

On ne peut pas dire que je sois de ces indescriptibles fans de la visibilité constante!... Vu comment je gère ce blog, je pense sincèrement que je reste désinvolte et inconstant. Un indécrotable ours dans sa caverne, bien au fond. Bref, moi!... Peut-être que ma vie me déborde un peu ou simplement que j'ai souvent autre chose à foutre que d'alimenter un blog chaque semaine... mais bon, ce retour mérite le respect. Certainement pas le mien mais celui de la prochaine expo d'ERIC ADAM qui a lieu la semaine prochaine et qu'il ne faut pas louper... je vous joint ici, l'article que j'ai du clôturer en urgence... dossier de presse oblige! arf! EA_Shop_mail PLEASE CLIQUER SUR L'INVITATION.... UN MIROIR DANS LA VITRINE L’artiste Eric Adam entame l’écriture d’un nouveau chapitre. Cette fois, il utilise la mise en scène, pignon sur rue, de nos modes de consommation, comme un miroir emblématique. Par un jeux de reflets, il confond l’homme qui regarde la vitrine et le mannequin regardé, le spectateur de l’oeuvre étant alors de la même condition que le sujet représenté. Un jeux de dupe à double lecture qui, à travers ses faux miroirs, prend tout son sens dans la critique et nous place au centre même du débat : Quel est notre regard sur nos idiosyncrasies ? Nos lieux communs ne sont-ils pas cruel, aussi bien dans le désir vulgaire de possessions que dans celui d’uniformité ? Remarquons nous encore nos propres paradoxes ? Ne sommes-nous pas, nous aussi, assujetti à prendre la pose ? Et qui finalement qui prend la pose ? Qui est de l’autre côté de la vitrine ? Voilà, aujourd’hui, le questionnement essentiel de l’artiste. LUCKY_KID3 GUESS2 PEEP_SHOW7 Du homeless allongé, dormant, la main tendue, devant un magasin en solde ; de la Musulmane voilée passant devant un sex-shop de la rue de Brabant ; du jeune gaillard regardant une vitrine où les mannequins ont presque la même pose, le même style que lui; on se place devant l’œuvre avec une nouvelle perspective de la réalité. C’est comme l’illusion de voir un aplat en trois dimensions : la profondeur de cadres, la forme et la signification… Tous ça dans un seul point de fuite. Toutes ces choses quotidiennes que l’on croise en passant dans nos rues commerciales prennent un sens différent, critique et contrasté. Un sens qui se dégage du tableau presque de manière physique, comme si on en enlevait l’armature pour ne voir que la toile, à même. IRRESISTIBLE_MAMAN2 SALES2 Ensuite, on en vient à se demander ce que cache la deuxième lecture dans toute cette profondeur ? Spectateurs devant l’œuvre, ne sommes-nous pas dans notre rapport à l’art comme ces personnages devant la vitrine ? Ne sommes-nous pas les premiers à donner sens à la mise en scène de celui-ci ? De nouveau, Eric nous dupe. Il place son spectateur au centre même de la construction intellectuelle de sa peinture. Entre l’émotion née du décadrage qui s’opère, de la signification qui dans sa mise en abîme prend toute sa lumière, et, notre position de spectateur tel le personnage représenté, il nous renvoie notre propre image aussi sociale, politique que d’amateur d’art. Il nous représente dans notre totalité, dans notre époque, dans nos contrastes et nos « désirs », dans l’analyse de l’acte de celui qui regarde. En bref, il nous montre du doigt tout en essayant de nous conscientiser de ce que nous sommes et dont il est le premier à faire partie. SHOP_TILL_YOU_DROP3 ET PUIS QUE SOMMES NOUS? BLACK_TIE__purple_
31 mars 2008

Entre le 6 juillet 2007 et 31 mars 2008... Pas un

IMG_0050_1 Entre le 6 juillet 2007 et 31 mars 2008... Pas un mot, rien... Nada! “Quel faux ami!”, diront-ils... Sans doute! Mais pourquoi sans un mots? Arf! Que dire... Que mas? Peut être parce que trop de vie, trop d’évènements et surtout pas assez de temps pour redevenir, ici, scribe et s’épancher un peu... L’écriture fut et est quotidienne sur tous les fronts depuis pas mal de temps... D’où sans doute la fatigue des mots, la fatigue de relater en ces lieux un peu plus encore... J’avais donc pour en temps ajourné le journal laissant tourné dans ma tête la pureté des sentiments instantanés d’une ville à vivre, ne voulant garder en mémoire que des instantanés comme une tonne d’asa gravés en dedans, profond... Mais le fils prodigue a du revenir au bercail, à contre coeur et sans regard en allé. Aujourd’hui, il lui reste toujours cette Barcelone qui fut pleine de tant de belles choses... Oui, Aujourd’hui de retour dans l'obscurité d’un ciel qui vient s’écorcher au sommet des cathédrales, comme cette Sainte Gudule, qui de ses mains, déchire le papier opaque et calque du brouillard qui nous condamne de n’être que belge. Parfois je me sens lâche d’être revenu, parfois tellement loin de mes ambitions pour avoir déserté la liberté de ce ciel azuré... Étais-je vraiment obligé? Je me dis au final que ma vie a ses buts et ses contours parfois même des méandres... Je me contente par l’idée que je vais continuer à relater ce à quoi je tiens et finalement rien de plus... BIEN A VOUS, BRUXELLES CE LUNDI BUD.
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6 juillet 2007

toujours barcelone

TOUJOUR"S" BARCELONE

Les origines travaillent, les entrailles et pourtant,... Au revoir...
je me defend d'images comme des gares et des aéroports
qui se coltinent de n'être que des moments à peines ternis puisqu'avortés...
De quelle couleur parlons nous?
Rouge est le sang basique qui s'écoule du taureau noir abattu
De jaune se ternis chaque vieillerie avec nostalgie, pareil au drapeau catalan.
Mais devant toutes horloges, les souvenirs de l'âne qui me suit ont pris le gris en grippe.
A Bruxelles, insuportable même devant toute son amabilité...
Je me "re-dis" que le vent d'ici me donne voile à courir de veaux en vas,
je n'ai plus que faire de ces cathédrales de pierres tristes...
trop de groins proletaires où de curés sans culotte
Ici, il y a des caravelles pour envahir le monde.
Et même si je reste à quai,
je sais qu' au fond il y a toujours encore quelques trésors,
à m'enorguellir infantil de tant de lumières
comme quelques volontés retrouvées
je m'étiole, m'assagis et m'assied
parfois je voudrai m'en défendre
mais où aller encore... plus loin?
Est-ce bien utile?

26 juin 2007

brel presque synonime.. Prenez une cathédrale Et

brel presque synonime.. Prenez une cathédrale Et offrez-lui quelques mâts Un beaupré, de vastes cales Des haubans et halebas Prenez une cathédrale Haute en ciel et large au ventre Une cathédrale à tendre De clinfoc et de grand-voiles Prenez une cathédrale De Picardie ou de Flandre Une cathédrale à vendre Par des prêtres sans étoile Cette cathédrale en pierre Qui sera débondieurisée Traînez-la à travers prés Jusqu'où vient fleurir la mer Hissez la toile en riant Et filez sur l'Angleterre L'Angleterre est douce à voir Du haut d'une cathédrale Même si le thé fait pleuvoir Quelqu'ennui sur les escales Les Cornouailles sont à prendre Quand elles accouchent du jour Et qu'on flotte entre le tendre Entre le tendre et l'amour Prenez une cathédrale Et offrez-lui quelques mâts Un beaupré, de vastes cales Mais ne vous réveillez pas Filez toutes voiles dehors Et ho hisse les matelots A chasser les cachalots Qui vous mèneront aux açores Puis Madère avec ses filles Canarian et l'Océan Qui vous poussera en riant En riant jusqu'aux Antilles Prenez une cathédrale Hissez le petit pavois Et faites chanter les voiles Mais ne vous réveillez pas Putain, les Antilles sont belles Elles vous croquent sous la dent On se coucherait bien sur elles Mais repartez de l'avant Car toutes cloches en branle-bas Votre cathédrale se voile Transpercera le canal Le canal de Panama Prenez une cathédrale De Picardie ou d'Artois Partez cueillir les étoiles Mais ne vous réveillez pas Et voici le Pacifique Longue houle qui roule au vent Et ronronne sa musique Jusqu'aux îles droit devant Et que l'on vous veuille absoudre Si là-bas bien plus qu'ailleurs Vous tendez de vous dissoudre Entre les fleurs et les fleurs Prenez une cathédrale Hissez le petit pavois Et faites chanter les voiles Mais ne vous réveillez pas Prenez une cathédrale De Picardie ou d'Artois Partez pêcher les étoiles Mais ne vous réveillez pas Cette cathédrale est en pierre Traînez-la à travers bois Jusqu'où vient fleurir la mer Mais ne vous réveillez pas Mais ne vous réveillez pas.
19 juin 2007

JUSTE ENVIE DE PARTAGER CA.... BARCELONE,

JUSTE ENVIE DE PARTAGER CA.... Photo_259 Photo_251 Photo_261 BARCELONE, 18/06/2007, 9:30.
16 juin 2007

Ahora tengo un ritmo que me sale bien... Escribo

Ahora tengo un ritmo que me sale bien... Escribo entre 10 y 15 paginas cada semana... Lo que es el mas importante en un largo: respectar y seguir las líneas que dirigen el guión - No perderse, no perder lo que quiero significar cuando cambio lo que me acuerdo de una realidad personal en una realidad ficciónal que debe servir una película original. Si, en esta secunda versión debo borrar palabras con agresividad y re-dibujar variadas líneas de, mas o menos, cada personajes, debo hacerlo para la ficción y no para mi propio placer – a veces, una tentación muy bella, pero con mi edad... No es posible ahora! Dejo las venganzas y las vergüenzas a los otros - Lo importante es por fin: escribir para un publico sin sentenciar!... El mas guay, irónico, cínico o sincero (depende de como te gustas leerlo, o de la altura de vista que tienes si eres orgulloso), es de encontrar, a veces, de fin de semana en fin de semana, los personajes originales de la primera versión,... A mirar todo el ridículo de estas escenas sin dialogos,... creo ahora que el tiempo me dice como se llama la razón, que por lo menos son munecas que no valían y no valen la pena... un museo disponible para la vulgaridad de los turistas!... Que cual fue el dueño, se ha perdido en la profundidad de un tiempo muerto. Solo me importa lo que estoy haciendo por y para mi... La única buena cosa que me dan estés malos recuerdos - es un paroxismo – es una mezcla que construye la historia social y negra de mi guión... al final, una suerte... ha! siempre... mogollon de ironia, vale... siempre la vida!... ;-) Ahora, disfruto simplemente de mi discreto camino de escritor en esta cuidad de sorpresas, una comida para la imaginación a comer pronto como un monstruo silencioso... Con el tiempo, veo que me quedo, de una manera natural, en momentos mucho mas lejos de estas viejas situaciones complicadas que se hacen siempre con hombres complicados y adictivos que tienen dos personalidades, dos espaldas, dos caras: una de perro triste como una de pocker... Me alejo, me cuido y la escritura se sale mejor que nunca... El otro día, cuando estuve re-leyendo André Breton, entre dos horas de trabajo, me he dicho que la libertad de la escritura se va con la libertad que nos ofrecemos. Me explico... Como este autor que, entre Aragon, Eluard, el surrealismo, el cubismo y la pobre Nadja, se dio, al comienzo del siglo pasado, un viaje de vagabundeo entre Paris, su alma y su escritura... me siento de la misma escuela (creo después el primero día que he tenido un boli en la mano) : un poco “dadaïste”, entre todas las reglas académicas, y cerca de esta manera de vivir todo dentro. Que estoy en la pena o en la alegría,... la idea de vagabundear, como una maleta llena de olores, experiencias y encuentros me parece mucho... Pobre “Nadja” que somos?... jejeje... Sonries!... No hay reglas distintas en estés tipos de viajes, solo sabemos lo que queremos o no, lo que podemos suportar y las líneas que no nos gustarían cruzar... No es el estado de toda la gente... mains "El dibujo de nadja" Andre Breton.
11 juin 2007

34 ANS. Le souvenir conscient ne nous donne

34 ANS. Le souvenir conscient ne nous donne jamais que des images et des ellipses, des instants forts et pourtant fugaces qui s’inscrivent en mémoire entre des temps morts partiels, pareils à de béants oublis. On ferme les yeux et l’on charcute inconsciemment son existence par côtes, cuisses et jambons. De toute cette mêlasse organique de la remémoration nous reviennent une période, un tunnel, un soleil qui dura, se noya et mourut… Presque un shaker de multiples fixations abusives…. Mais des dates, notre corps n’en a que faire… S’il eut froid, peut importe que ce fut en janvier où en août. Il vieillit chaque jour à sa manière et il ne se soucie de rien d’autre que de savoir en conséquence qui il est à l’état présent. Je ne suis pas capitaine et n’ai de compte à rendre. Je ne fais que l’inventaire babillard d’une somme d’imprécis, de ressentis furtifs, qui n’ont de sens que dans l’instant vécu. - Bien que parfois ils se veulent prétentiar à devenir plénitude - À quoi bon afficher dates et ordres alors que la remémoration même se suffit en tout point. Ici, chaque jour passe de divergences légères en divergences notables,… toujours autant brûlé de lumière. Avant ma mort, tout ce dont je me souviendrai sans doute est cette période qui se déroule dans l’expectative infantile du lendemain. Dans ces moments où, le drapeau enfin en berne de toute lutte, je me laisse confiant éconduire par un fil sans vouloir en diriger le sens. J’en voudrai presque toujours plus… Dans le respect de mes propres barrières, sans molester ma conscience d’illusions, je regarde de mon balcon cette ville, toujours et encore,... avec l’espoir que jamais elle ne me soit commune… Depuis longtemps, les bagages sont vides et le sentiment d’appartenance s’exécute alors que l’émerveillement perdure. Pourvu qu’à jamais ne vienne ce regard commun de l’habitude lascive… Bruxelles est de plus en plus loin, pauvres cathédrales! Seul à ce jour, une chose est sûre. J’ai quitté l’idée d’être une plâtrière en exploitation… une carrière à béquilles… Ici, si l’eau est calcareuse, je n’en garde pas trace… Depuis l’humidité noire de ces dernières années, je n’avais encore jamais connu de chaleur qui ne me couvre autant sans l’obligation de vendre mon âme à l’affection. Le temps n’est plus une commune mesure… Es possible que me quedo en un otro mundo ? no sé… HIER, LE CIEL. PICT0327
25 mai 2007

Vale,vale.... Hace 3 semanas sin noticia, lo

Vale,vale.... Hace 3 semanas sin noticia, lo sé... Tengo vergüenza de este silencio pero no tengo 5 cabezas, y 10 manos. JODER!... Ahora tengo mi propio piso que alquilo con un tío que se llama JUAN, es un majote muy tranquilo de 36 anos, y a veces... un poco autista... Pero me sale bien de tener una vida de casita muy tranquila con reglas (muchas,... si claro... :-( , pero no me voy a ser un sacerdote!). Vivo en "parall.el" en el sexto piso de un inmueble que me da una vista increíble sobre Barna... El piso no es tan grande que lo que tengo en Bruselas pero me gusta mucho. Tenemos una luz muy fuerte y es importante para mi! No puedo vivir mas en la oscuridad, por favor! Antes de dormir cada día, fumo mi cigarrillo a la ventana, mirando la “skyline” de la ciudad que me encanta! Por fun que suerte... Entre los exámenes de la empresa (es una americana con reglas superficiales de tontos americanos... Vale, es un poco guay y cómico!) y al comienzo del trabajo no tenia mucho tiempo para escribir y, mas o menos, para hacer todo lo que necessito para vivir... Tenia una vida como un video clip durante estas tres ultimas semanas pero ahora puedo estar mas tranquilo. Por fin!... Empiezo a tener una vida normal, sin correr... Entre el guión y el curro, cuando tengo tiempo, me voy a ver los amigos para cenar o salir. Ayer invitaba mis amigos mios (faltaba Marco que esta en Francia ahora con su familia) y pasábamos un bueno momento juntos a hablar... Sabes de quien? De Serge Gainsbourg! Jajaja es la Ostia! La vida se va a estar mas tranquila ahora, mas regulada... Entre el trabajo y el guión tengo una línea que me gusta... poco a poco... Solo el viernes o el sábado es de salida... Y.... “es privado!” no mas comentarios...jejejejeje BUD BON OK MARC! Je fais une traduction: ca fait 3 semaines sans donner de nouvelles, je sais... j'ai un peu honte de ce silence mais je n'ai pas 5 têtes et dix mains... merde! Maintenant j'ai mon propre appartement que je loue avec un gars nomé Juan, c'est un type tranquile de 36 ans, qui parfois... est un peu autiste. Mais j'aime bien d'avoir quelques régles de vie commune (en fait pas mal, mais je ne vais pas devenir curé pour autant!) Je vis dans l'avenue paralléle, au sixiéme étage d'une résidence qui me donne un vue incroyable sur Barcelone... l'apartement n'est pas aussi grand que le mien à Bruxelles mais il me plait bien. On a une lumiére incroyable et c'est le plus important! Je ne peux pas vivre plus d'ans l'obscurité, pr fvr! Avant de dormir, chaque jour, je fume ma petite cigarette à la fenêtre, regardant la skyline de la ville! qu'elle chance finalement... Entre les examens de l'entreprise (c'est una entreprise US avec des régles un peu superficielles d'amerloc bouchtien... finalement c'est assez cool et comique à la fois) et le début du travail réel j'ai pas eu bcp de temps pour écrire, juste assez pour faire ce qu'il faut pour vivre correctement... j'ai eu une vie un peu comme un video clip durant ces derniéres semaines mais maintenant je peux être plus calme. Enfin... Je commence juste à avoir une vie normale, sans courrir... Entre le scénario et le boulot, quand j'ai un peu de temps, je vois les amis pour un repas ou pour une sortie. Hier je les ai invités à manger (marco était en france pour voir ses parents malheureusement) y nous avons passé de bon moment à parler ensemble... devinez de quoi? de Serge Gainsbourg! hehehe c'est le comble! Ma vie se fait plus réguliére en ce moment, entre l'écriture et le boulot... peu à peu... ça se tase!...seul le vendredi ou le samedi est un peu plus agité et privé! lol ;-) et sans comentaires hehehehe... BUD!
1 mai 2007

primeras noticias

VOLVER: Primeras Noticias Vivo ahora en BCN en el apartamento de mi amigo francés Antoine (a.k.a. Antonio y/o el “gabacho”…) Es un pequeñito oso muy simpático y siempre de buen humor... Tengo mucha suerte de tenerle a mi lado para empezar mi vida en esta ciudad que tanto me falto... ANTONIO PICT0838 Volver? No sé! No tengo el sentimiento de encontrar un mundo nuevo o que no conozco, pero, vivir aquí para y por mi, a dejar en mi espalda un pasado en particular... No es necesario de acordarme de viejas personas de estas calles, que con el tiempo, se revelen mas transparentes, estupideces, superficiales que antes y que hacen cosas que la pudor me prohibe de hablar aquí... A buen entender... Hasta Nunca! Con la hospitalidad de Antonio y su ex novio Vicente, puedo tener tiempo para buscar un piso a compartir con otros… Pero después que estoy aquí, después el ultimo jueves, puedo decir que no tengo tiempo para mi… MARCO MARCO_GP He empezando muy pronto el camino de los papeles… Que putada! La administración española es complicada y abierta solo durante la mañana. Es seguro que, sin la ayuda y los consejos de Marco, un otro amigo francés, no sé si lo hubiera echo todo... Un ejemplo: Esperábamos 5 horas para tener el NIE, después íbamos a la policía, el ayuntamiento... Y tal... Creo que la administración belga es un poco menos complicada... Pero España es España...NO ESTOY AQUI PARA NADA! .... Solo el sábado, íbamos a celebrar el cumple de marcos (27 anos, el “pequeñito chico”... Creo que va a matarme !..) con sus amigos... Es increíble de ver como el mundo es un pañuelo, porque Víctor, y Santos (una super buena sorpresa) estuvieron allí... VICTOR EN SU BANCO victor_en_el_banco SANTOS RAMON ELLA picnic02 Hoy... llueve en Barna y estoy en casita a descansar antes el primer día de trabajo... Delante de la telé... Y revisar un poco las nuevas expresiones que me aprendían los amigos, un ejemplo: “TE VOY A METER DE TO’ MENOS MIEDO” Hum.... Gracias Marco, de nuevo... GRACIAS! Grrrrr.. Vale me voy a leer un poco... Hasta pronto! BUD Photo_199 Pour les francophones : REVENIR : Premières Nouvelles. Je vis maintenant à Barcelone dans l’appartement de mon ami français Antoine. C’est un petit ours sympathique et toujours de bonne humeur… Comme quoi j’ai finalement pas mal de chance de l’avoir comme conseiller pour recommencer ma vie dans cette ville qui m’a tant manquée. Revenir ? Je ne sais pas vraiment si c’est revenir ? Je n’ai pas l’impression de rencontrer un monde nouveau et inconnu, mais d’avoir choisi de vivre ici par moi et pour moi, laissant dans mon dos un monde en particulier… Il n’est pas nécessaire que je me souvienne encore,... deux ans en arriére,... de ces vieux visages autochtones qui hantent les rues de cette ville et qui, avec le temps, se sont révélés transparents, superficiels, stupides et coupables d’actes que la pudeur m’empêchera de vous décrire ici... À bon entendeur… Et à jamais ! Avec l’hospitalité d’Antoine et Vicente, je peux prendre mon temps pour trouver un appartement a partager, une « Auberge Espagnole » en somme… Mais depuis que je suis là, depuis jeudi dernier, je peux vous dire que je n’ai pas eu encore de temps pour moi… J’ai très vite commencé le chemin des papiers administratifs… Quel « Bordel Innommable ! » L’administration espagnole est compliquée et seulement ouverte le matin. Sans l’aide de Marc, un autre ami français, je ne sais pas si j’aurai pu avoir tous les papiers à temps… Un exemple : 5 heures d’attente pour avoir mon statut de résident (quand on a que la matinée c’est peu.. LOL), puis nous avons dû nous présenter à la police pour payer les papiers, puis la commune pour la domiciliation provisoire… etc, etc… Je crois que l’administration espagnole est bien pire que la Belge… Mais l’Espagne est l’Espagne… et je ne suis pas là pour rien ! C’est seulement le samedi, que nous avons été fêter l’anniversaire de Marc (27 ans le gamin et un espagnol irréprochable !) avec ses amis… C’est incroyable de voir à quel point le monde est petit, puisque j’y ai retrouvé Victor et Santos… (c’était une agréable surprise !) Aujourd’hui, il pleut sur Barcelone et je reste à la maison, je me repose un peu devant la télévision avant mon premier jour de travail… Je révise aussi les dernières expressions espagnoles que mon appris mes amis, exemple : « TE VOY A METER DE TO’ MENOS MIEDO » (mais ça je ne vais pas vous le traduire !!!!) Bon, je vais aller lire un peu… @+ BUD
24 avril 2007

BRUXELLES: NO COMMENT...

BRUXELLES: NO COMMENT... Photo_194
20 avril 2007

BON VOILA, LA VALISE EST PRESQUE PRETE,... JE NE

BON VOILA,

LA VALISE EST PRESQUE PRETE,... JE NE SAIS PAS ENCORE SI J'AI OUBLIE QUELQUE CHOSE, ON VERRA BIEN... PLUS QUE QUELQUES JOURS AVANT DE PARTIR OU DE RETOURNER... A VOIR MAIS... POUR LONGTEMPS CETTE FOIS...

QUITTER C'EST TOUJOURS MOURIR UN PEU, DU MOINS VIEILLIR ET JE NE SUIS PAS CONTRE... CE SERAI BIEN LA PREMIERE FOIS QUE LA BELGIQUE ME MANQUERAI EN QUELQUE CHOSE...

FINALEMENT C'EN EST PRESQUE DRÔLE!

BISE ET RENDEZ VOUS A BARNA!

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2 mars 2007

ENTRE "SUPERVIXEN" DE RUSS MEYER ET "BARBARELLA"

ENTRE "SUPERVIXEN" DE RUSS MEYER ET "BARBARELLA" DE ROGER VADIM,... LE PAROXISME DU KITCH NOUS VIENT ENCORE ET TOUJOURS DES DERNIERS CLIPS DE FANGORIA,... UN REGAL... LOL... DE QUOI S'ECLATER LA RATE EN VO... DERNIER ALBUM: "EL EXTRANO VIAJE" TITRE: "NI CONTIGO NI SIN TI" UN AUTRE VIEUX CLIP QUI ME FAIT TOUJOURS BIEN RIRE: "LA MANO EN EL FUEGO"
27 février 2007

Vuelvo en Brusselas… Barcelone cette fois !...

Vuelvo en Brusselas… Barcelone cette fois !... Que dire ?... Que je ne me suis jamais autant senti chez moi que cette fois!... Que les années passées ne laissent plus aucune marque et que ce retour est bien plus salvateur que tous les autres… Certaines vieilles images décevantes n’ont plus aucune importance, voir… "Elles sont devenues transparentes, invisibles, inexistantes…" Seusl restent toutes ces nouvelles amitiés et la magie de quelques instants partagés… comme sur la plage de Castelldefels avec Fran,… comme la timidité parfois maladroite et touchante de Josep,… la gentillesse de Victor, d’Antoine et Santos… Un beso a todos… Me voy ahora pero volvere muy pronto amigos… BUD R0010840 Ademas, durante estos dias, Fran me aprendio a descuvrir "BUIKA"... A VER:
17 février 2007

FESTIVAL DU FILM D’AMOUR DE MONS… C’est en tant

FESTIVAL DU FILM D’AMOUR DE MONS… C’est en tant que représentant de la boîte de distribution de mon producteur, Imaginefilms, que je me suis rendu au Festival d’Amour de Mons afin d’y accompagner plusieurs réalisateurs… En l’occurrence : Pascale Ferrant pour le film « Lady Chaterley », Bruno Dumont pour son film dur et sans concession, « Flandre », et enfin pour le film chilien « En la cama ». L’ambiance était assez bon enfant, voir très agréable et si parfois, l’organisation n’était pas toujours « précise », la bonne humeur et la gentillesse des attachés-vedettes nous ont fait oublier les quelques petits dérapages de certains autres… MAIS EN SOMME,… … Je ne m’étendrai pas plus à vous décrire l'ambiance, finalement vous n’aviez qu’à vous y rendre! … Je ne m’attarderai pas non plus à vous faire un relevé exhaustif de la conférence et du cours de cinéma de Bruno Dumont. Ce réalisateur, ex-philosophe et professeur de philosophie, nous a déjà démontré au paravent sa démarche avec « La vie de Jésus », « L’humanité » prix d'interpretation à Cannes pour des acteurs amateurs et « 29 palms ». Son dernier film « Flandre » est un grand film, dur et sans concession… Si certains n’aiment pas !… Moi, j’adore et d'ailleurs voici le trailler du film qui sort seulement maintenant chez nous: … Je vous parlerai encore moins de « Lady Chaterley » qui est nominé pour 8 Césars : ouvrez votre journal il y a certainement une critique voir plusieurs… Lisez celle de cette ..."si charmante"... Fabienne Bradfer dans Le Soir… Apparemment, pour une fois, elle s’est émoustillée… même si ça ne la pas rendu plus aimable... Non, j’ai juste envie de vous parler du film « en la cama » petit bijou d’intimité et d’humilité, petite boîte à musique réaliste, où un réalisateur et deux acteurs s’inquiètent de leur génération, de leurs relations humaines et de la vérité des sentiments… J'aimerai d'ailleur les remercier tous les deux!... tan bueno, agradable y simpatico que son... un abrazo con fuerte a vosotros, amigos! En la cama Réalisation Matias Bize avec Blanca Lewin et Gonzalo Valenzuela Dans une chambre d’hôtel, un couple fait l’amour sans se connaître… C’est seulement après, tout au long de cette nuit, que ces deux amants du hasard vont apprendre à se découvrir, à se poser des questions sur leurs existences, sur leurs désirs et la réalité qui s’avance devant eux. Ce film, témoin de la génération actuelle, est juste et prometteur faisant ainsi de son réalisateur le nouvel espoir du cinéma chilien. Matias Bize aime les défis et les contraintes dans sa réalisation. Son premier film, Sabado, qui fut remarqué dans de nombreux festivals internationaux, est un seul plan séquence dont la durée est équivalente à celle de la cassette de sa caméra HD, 1h10. Un film qui lui as coûté 40 euros, mais dont les bénéfices ont pu financer son dernier film. Avec « en la cama », il avait envie de filmer un huis clos : 2 personnages ; un seul lieu : une chambre ; une seule temporalité : une nuit. Le tournage, réalisé en deux semaines et demie avec deux caméras épaules, (chacune focalisée sur un des acteurs) est lui aussi devenu un huis clos. L’équipe, réduite à 12 personnes, est restée enfermé dans cette chambre au même titre que les personnages de l’histoire. « Cela nous a permis de créer une véritable intimité sur le plateau et une confiance avec les deux acteurs qui jouent dénudés la plupart du temps » nous a confié Matias… et cela se voit ! Il y a une véritable authenticité, spontanéité et un travail sur la légèreté du corps aussi bien dans l’interprétation que dans la mise en scène. Le sujet nous parle d’une vraie rencontre dans ce qu’il y a de plus intime en nous-même. Une intimité qui fait surgir les doutes sur l’amour, le passé, l’avenir, que les personnages se projettent séparément et qui prennent une tout autre valeur devant leurs sentiments naissants l’un pour l’autre… Une autre manière de se dire : « Qu’allons nous devenir ? »… A la fois drôle, réaliste et subtil, Matias dépeint nos rêves, nos espoirs, nos hésitations voir notre désarroi. Les acteurs, Blanca Lewin et Gonzalo Valenzuela, sont d’une vérité criante et d’un charme désarmant… Un film exceptionnel à voir impérativement… En production : Le prochain film de Matias Bize est en production en ce moment, il vient d’être tourné entièrement à Barcelone… Wait and see ! En la cama Dirección Matias Bize Con la actuacion de Blanca Lewin Y Gonzalo Valenzuela En una habitación de un hotel, un pareja practica el sexo antes de conocerse… es solo después, durante una larga noche que los dos amantes casuales aprenden a descubrirse, hablaran sobre la existencia, el deseo y la realidad que se mueve delante de ellos. Esta película, reflejo de la generación actual, es justa y prometedora como su director, que puede ser la nueva esperanza del cine del Chileno. Matias Bize quiere los retos y las coacciones en sus manera de dirigir. Su primera película “Sábado”, se proyecto en las pantallas de infinidad de festivales, realizada en un solo plano, una secuencia que duraba todo el tiempo de grabación de una cinta de unacamara HD- 1h10 - Una película que costo 40 euros y permitió financiar este ultimo film. Con “en la cama”, tuvo la posibilidad de rodar una historia a puerta cerrada con dos personajes: un lugar, una habitación, un tiempo, una noche. El rodaje se hizo en dos semanas y media con dos camaras al hombro - una para cada actor - se convirtio en una pelicula a puerta cerrada . El equipo de doce personas se enfermaba como los personajes de la historia en la habitación durante todo los días de trabajo. “esta manera de trabajar nos permitía crear un amiente realiste e intimo en el plato y una gran confianza entre los dos actores que estan la mayor parte del tiempo semi desnudos” nos lo dijo Matias... Y se lo ve en la pantalla. Hay una autenticidad y un buen trabajo sobre el lenguaje del cuerpo, tanto en la actuación como en la escenografía. El sujeto nos habla de un encuentro y de lo mas intimo en nuestros corazones. Una intimidad que hace aparecer las dudas sobre el amor, el pasado, el destino, y que toma un nuevo significado cuando aparecen los sentimientos entre ellos... Es otra manera de preguntarnos: “¿Cual es nuestro destino?”... A veces cómica, realista y sutil, la película de Matias refleja en un lienzo nuestros sueños, nuestras esperanzas, nuestros indecisión y lo peor...nuestra desesperanza. Los actores, Blanca Lewin y Gonzalo Valenzuela, realizan una actuacion tan real que seduce de una manera incontestable... xUna película muy rara extraña que te hara ver... En producción: La última película de Matias Bize esta en producción , y se esta rodando totalmente en Barcelona... Wait and see: www.lobuenodellorar.com (Un besote a Matias y Blanca, espero que estan en casita ahora y que la salud de Matias se pone mejor... Gracias a Fran para ayudarme a escribir este articulo sin falta!) en_la_cama WWW.ENLACAMA.CL
16 février 2007

ANTOLOGIE.... "Anna" de Serge Gainsbour

ANTOLOGIE.... "Anna" de Serge Gainsbourg
12 février 2007

MAIS TOUT VA BIENNN... Bon je vous avais promis,

MAIS TOUT VA BIENNN... Bon je vous avais promis, j'ai réservé les billets et j'ai ressorti les pots de peinture... LOL Pour preuve.. quelques cartons du Story Board: Photo_139 Photo_138 Photo_141 bota sergi_couloir_noir Et quelques essais de peitnure sur carton qui vont, sous peu, finir sur toile: "The bigining of a dead love" Photo_145 Photo_148
8 février 2007

ANTOLOGIE... LA MAMAN ET LA PUTAIN, variations

ANTOLOGIE... LA MAMAN ET LA PUTAIN, variations sur Jean Eustache...
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